Un théologien contemporain décrit ici sa vie, son métier et ses activités par le biais de mémoires narratifs, à la fois sélectifs et électifs.
La marche en avant de l’écrevisse. C’est une manière provocatrice et plaisante de contredire Guillaume Apollinaire:
« Incertitude, ô mes délices
Vous et moi nous nous en allons
Comme s’en vont les écrevisses,
A reculons, à reculons »
Merci à Jacques Epiney de m’avoir fait connaître ce poème !
Moi je voudrais donner à penser
Que l’homme – tout être humain –
avance comme l’écrevisse,
des pas en arrière, des pas en avant
Question d’espérance et de persévérance.
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